Lurrie C. Bell b. December 13th, 1958 in Chicago (Illinois) |
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NEW GENERATION OF CHICAGO BLUESBlue Eye (mp3) November 1977 |
Né dans une famille de musiciens, fils de l'harmoniciste Carey Bell, Lurrie apprend la guitare dès l'âge de 6 ans. Fortement influencé par Buddy Guy, il renforce ses connaissances auprès d'Eddie Taylor, Eddy Clearwater ("The chief") et son parrain Eddie C. Campbell (Lurrie joue de la basse dans "King of the jungle"). Mais, c'est avec son père Carey qu'il va accomplir l'essentiel de sa formation en collaborant avec lui sur différents albums dès 1977 ("Heartaches & pain", "Goin' on Main Street"). En parrallèle, il rencontre - grâce à son grand-frère Carey Jr - l'harmoniciste Billy Branch avec qui il forme The Sons of the Blues (avec également Freddie Dixon, fils de Willie). Grâce à Willie Dixon, Lurrie participe à la tournée New Generation of Chicago Blues en Europe aux côtés de jeunes bluesmen comme lui. Sur ce recueil proposé par Gérard Herzhaft, il chante "I'm ready" en leader et accompagne les autres artistes à la guitare sur la plupart des titres. Born into a musical family, son of the harmonica player Carey Bell, Lurrie learned guitar from the age of 6 years. Strongly influenced by Buddy Guy, he strengthens his musical knowledge with Eddie Taylor, Eddy Clearwater ("The chief") and his godfather Eddie C. Campbell (Lurrie played bass in "King of the jungle"). But it is with his father Carey that he will accomplish most of his training by collaborating with him on different albums since 1977 ("Heartaches & pain", "Goin' on Main Street"). In the meantime, he met - thanks to his big brother Carey Jr - harmonica player Billy Branch with whom he formed The Sons of the Blues (also with Freddie Dixon, Willie's son). Thanks to Willie Dixon, Lurrie participates in the New Generation of Chicago Blues tour in Europe alongside young bluesmen like him. On this collection proposed by Gérard Herzhaft, he sings "I'm ready" as a leader and accompanies the other artists on guitar on most titles. |
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SON OF A GUNRooster May 1982 - 1983 |
Entre 1978 et 1983, Lurrie devient le guitariste du groupe de Koko Taylor. Dans "Son of a gun", Lurrie partage l'affiche à égalité avec son père. Il s'agit d'un disque relativement plaisant et varié donnant une bonne illustration des interactions musicales entre le père (Carey) et son fils (Lurrie). Finalement, c'est même Lurrie qui tire son épingle du jeu et que l'on remarque le plus tout au long de ces séances. Contrairement à "Goin' on Main Street" où les deux hommes avaient privilégié des morceaux assez longs, ici, ils se concentrent sur des titres plus courts mais aussi plus limités. Between 1978 and 1983, Lurrie became the guitarist of Koko Taylor's band. In "Son of a gun", Lurrie share the album with his father. A relatively pleasant and varied opus giving a good illustration of musical interactions between the father (Carey) and his son (Lurrie). Finally, it is even Lurrie that pulls out of the game and that is most noticeable throughout these sessions. Unlike "Goin 'on Main Street" in which the two men had privileged long blues here, they focus on shorter but also more limited tracks. |
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CHICAGO'S YOUNG BLUES GENERATIONL+R Evidence June 1982 |
Pour leur premier vrai disque, Billy Branch, Lurrie Bell et les Sons of the Blues délivrent un pur album de Chicago Blues produit par Horst Lippmann pour le label allemand L+R. Billy s'y montre un excellent technicien de l'harmonica et un honnête chanteur, Lurrie un chanteur et guitariste très créatif. Derrière les deux leaders, la section rythmique composée d'Eli Murray (guitare), J.W. Williams (basse) et Mose Rutues Jr (batterie) est solide et parfaitement efficace. Ne comprenant que des reprises, la set-list aurait sans doute encore gagnée en attractivité avec quelques compositions originales. En dépit de cela, le disque possède de nombreux moments très intenses comme "Don't start me talkin'", "I need you so bad", "Breakin' up somebody's home" et "Mystery train". For their first real record, Billy Branch, Lurrie Bell and the Sons of the Blues deliver a pure Chicago Blues album produced by Horst Lippmann for the German label L+R. Billy is an excellent harmonica technician and an honest singer, Lurrie a very creative singer and guitarist. Behind the two leaders, the rhythm section composed of Eli Murray (guitar), J.W. Williams (bass) and Mose Rutues Jr (drums) is solid and perfectly effective. Only including covers, the set-list would have probably gained in attractiveness with some original compositions. Despite this, the record has many very intense moments like "Don't start me talkin'", "I need you so bad", "Breakin' up somebody's home" and "Mystery train". |
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THE BLUES CARAVAN : LIVE AT THE PIT INNYupiteru P-Vine October 1982 |
Lurrie est accompagné de musiciens japonais attentifs et efficaces lors de ce concert dans un club de Tokyo. La qualité sonore - d'une grande clarté - est excellente. La guitare et le chant de Lurrie sont encore perfectibles mais montrent déjà une belle sensibilité. Une prestation en public plutôt sympathique. Lurrie is accompanied by attentive and efficient japanese musicians at this concert in a Tokyo club. Sound quality - very clear sound - is excellent. Lurrie's guitar and singing can still be improved but already showing a great sensitivity. A rather nice public performance. |
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STRAIGHT SHOOTBlues South West September 1986 |
A l'occasion d'une tournée en Angleterre, Carey et Lurrie enregistrent ce disque sous la supervision du guitariste et producteur Julian Piper. Il s'agit d'un mélange de titres en studio et en public accompagné du groupe Junkyard Angels. Le son s'avère vraiment faiblard de bout en bout. De plus, ces séances ne semblent pas avoir été réellement préparées. Un ensemble anecdotique, routinier et mal enregistré. During an english tour, Carey and Lurrie record this LP under the supervision of guitarist and producer Julian Piper. It is a mixture of tracks in the studio and in public accompanied by The Junkyard Angels. The sound turns really feeble throughout the record. In addition, these sessions do not seem to have actually been prepared. Anecdotic and poorly recorded. |
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DYNASTYJSP 1988 - 1989 |
Cette fois, toute la famille Bell s'est retrouvée au studios Soto Sound de Chicago pour ce disque. Carey, le paternel, est toujours le chanteur et harmoniciste mais il est accompagné de ses fils Lurrie (voix, guitare), Steve (harmonica), Tyson (15 ans, basse) et James (17 ans, batterie). Ce petit orchestre familial est agrémenté des collaborations du guitariste Pete Allen (ancien membre des Teardrops de Magic Slim) et de l'organiste Jerry Soto. Dans une belle variété de styles et de tempos, ils livrent un bon set de Chicago Blues sans fausse note. On remarque "What my mama told me", "I'll be your 44", "The Gladys shuffle", "Second hand man" et le long "I don't need no woman". Il y neuf morceaux dans la version originale, quatorze dans la version augmentée. This time, the entire Bell family joined together at Soto Sound Studios in Chicago for this record. Carey, the father, is still the singer and harmonica player but he is accompanied by his son Lurrie (vocals, guitar), Steve (harmonica), Tyson (15 years old, bass) and James (17 years old, drums). This small family band is enhanced by collaborations of guitarist Pete Allen (former member of Magic Slim's Teardrops) and organist Jerry Soto. In a great variety of styles and tempos, they deliver a good set of a flawless Chicago blues. We can point out "What my mama told me", "I'll be your 44", "The Gladys shuffle", "Second hand man" and long "I don't need no woman". There are nine tracks in the original version, fourteen in the expanded version. |
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CHICAGO'S HOTTEST GUITARSWolf October 1989 / June 1993 |
Il y a six morceaux de Lurrie Bell dans ce CD proposé par Wolf. Ceux-ci proviennent de sessions datées d'octobre 1989 et de juin 1993. Quelques titres méritent une écoute attentive comme "What can a poor man do" ou "Nobody wants to lose" mais d'autres s'avèrent largement plus dispensables ("Goin' to Louisiana"). Les autres morceaux du CD sont interprétés par Phil Guy. There are six tracks of Lurrie Bell in this CD proposed by Wolf. These sessions are from dated from october 1989 and june 1993. A few titles worth an attentive listen such as "What can a poor man do" or "Nobody wants to lose" but others are more largely dispensable ("Goin' to Louisiana"). The other tracks on the CD are interpreted by Phil Guy. |
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EVERYBODY WANTS TO WINJSP 1989 |
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THE PAUL JONES RHYTHM & BLUES SHOW vol.3JSP 1989 |
Il s'agit d'enregistrements en studio réalisés pour une émission radiophonique de la BBC avec son père Carey et le groupe de Norman Beaker. Plutôt sympathique mais sans grande originalité. This is studio recordings for a BBC radio show with his father Carey and the Norman Beaker Band. Rather nice but without much originality. |
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THE SECOND BURNLEY NATIONAL BLUES FESTIVALJSP April 1990 |
Ce disque édité par JSP relate le festival de blues de Burnley (au nord de Manchester). Carey & Lurrie Bell y prennent deux titres en leader accompagnés de Tyson (basse) et James (batterie). La famille Bell accompagne aussi d'autres artistes à l'affiche comme Buddy Guy et Louisiana Red sur ce disque. This disc issued by JSP relates the Burnley Blues Festival (north of Manchester). Carey & Lurrie Bell take here two titles as leaders with Tyson (bass) and James (drums). The Bell family also accompanied other artists on stage as Buddy Guy and Louisiana Red on this album. |
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SECOND NATUREAlligator January 1991 |
Cette session acoustique a été mise en boite lors d'une tournée en Finlande par Chip Covington et Martti Heikkinen. Selon les notes de pochette, il n'y eut ni répétition, ni overdubs. La spontanéité à l'état brut. Une séance intimiste et appliquée où les deux musiciens sont à égalité, se répondant parfaitement sans jamais prendre le dessus sur l'autre (ils sont rejoints sur deux morceaux par James Bell aux percussions). Dommage qu'il ait fallu attendre 2004 pour découvrir cet opus original. "Road is so long", "Short dress woman", "Five long years" et "Heartaches and pain" sont parmi les meilleurs moments de ce disque. This acoustic session was captured during a tour in Finland by Martti Heikkinen and Chip Covington. According to the liner notes, there was no rehearsal, no overdubs. Just rough spontaneity. An intimate and applied session where the two musicians are equal and in perfect adequacy (they are joined on two tracks by James Bell on percussion). Too bad it took until 2004 to discover this original album. "Road is so long", "Short dress woman", "Five long years" and "Heartaches and pain" are among the highlights of this disc. |
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MERCURIAL SONDelmark December 1994 - March 1995 |
A la fin des années 80 et le début des années 90, les difficultés s'amoncellent pour Lurrie (drames familiaux, maladie, drogue). Pendant un temps, il arrête d'enregistrer et de tourner et disparait du paysage. Grâce à quelques amis, il revient dans la lumière avec la publication du tourmenté "Mercurial son". Un disque noir et désespéré à l'instrumentation brute et évocatrice. La guitare de Lurrie - cinglante et incisive - est étincelante. Quant à son chant, il est souvent bouleversant. Plusieurs chefs d'oeuvre doivent absolument être mentionnés : "Your daddy done tripped the trigger", "Sweet daddy rest in peace", "Blues in the year One-D-One", "Just one hour behind the sun", "Blues all around me". Il faut aussi distinguer le batteur-compositeur-producteur Steve Cushing remarquablement créatif sur ce disque indispensable. In the late 80's and early 90's, the problems are piling up for Lurrie (family tragedies, illness, drug abuse). For a while, he stops recording and touring and disappears. With some friends, he returned to light with the release of the tormented "Mercurial son". A dark and desperate album with raw and evocative instrumentation. Lurrie's guitar - biting and incisive - is brilliant. As for his singing, he is often staggering. Several masterpieces must be absolutely mentioned : "Your daddy done tripped the trigger", "Sweet daddy rest in peace", "Blues in the year One-D-One", "Just one hour behind the sun", "Blues all around me". We must also distinguished composer-producer-drummer Steve Cushing remarkably creative on this essential set. |
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BLUES HAD A BABYDelmark April 1995 - November 1997 |
Ce disque reprend deux séances distinctes : une d'avril 1995 (issue des séances de "Mercurial son") et l'autre de novembre 1997. Dans la deuxième, il est entouré d'une efficace section rythmique (Harlan Terson, Kenny Smith) et se montre en bonne forme sur des titres comme "Givin' me a hard time" ou "You're the one". Ses reprises de "Who do you love" (de Bo Diddley) et "Five long years" (d'Eddie Boyd) sont relativement inspirées. This disc contains two separate sessions : one in april 1995 (from "Mercurial son" sessions) and the other in november 1997. In the second, he is surrounded by an effective rhythm section (Harlan Terson, Kenny Smith) and shows himself in fine form on tracks like "Givin' me a hard time" or "You're the one". His covers of "Who do you love" (Bo Diddley) and "Five long years" (Eddie Boyd) are relatively inspired. |
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700 BLUESDelmark October - December 1996 |
En dépit d'une voix chevrotante qui peut parfois déconcerter, Lurrie garde ce jeu tendu et incisif à la guitare parfaitement supporté par Ken Saydak, Harlan Terson et Kenny Smith. L'album se révèle, d'ailleurs, assez consistant ("How many more years", "All over again") même si on ne trouve que peu de compositions personnelles de Lurrie. Despite a tremulous voice that can sometimes disconcert, Lurrie keeps this taut and incisive guitar playing perfectly supported by Ken Saydak, Harlan Terson and Kenny Smith. Moreover, the album is often solid ("How many more years", "All over again") even if there are only few personal compositions from Lurrie. |
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KISS OF SWEET BLUESDelmark December 1997 |
Pour cet album, Lurrie a invité son ami guitariste Dave Specter qui a composé la majorité des titres de l'album. Il officie également comme producteur et second guitariste. Malgré quelques morceaux notables ("Wicked hearted woman", "Blues and black coffee", "Somebody help me"), Lurrie n'a mis que deux compositions personnelles (deux instrumentaux) dans ce disque. For this album, Lurrie invited his friend guitarist Dave Specter who composed the majority of the tracks on the album. He also officiates as a producer and second guitarist. Despite some notable pieces ("Wicked hearted woman", "Blues and black coffee", "Somebody help me"), Lurrie took only two personal compositions (two instrumental) in this disc. |
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CUTTIN' HEADSVypyr Isabel January 2000 |
Deux reprises ambitieuses - "Man and the blues" et "I'll play the blues for you" - montrent son attachement toujours vivace à Buddy Guy et Albert King. Mais, Lurrie propose également quelques joyaux qui sont de remarquables réussites : "I've got a watch on you", "I'll be your 44" et le grandissime "Leaning tree" (avec le saxophone de Jerry Winston) meilleur titre de l'album. Il faut saluer les collaborateurs de Lurrie : belle production compacte de Willie "Vamp" Samuels (également bassiste), prestations excellentes de Dave Rice à l'orgue et de Reggie Wright à la batterie. Two challenging covers - "Man and the blues" and "I'll play the blues for you" - always show his perennial affection for Buddy Guy and Albert King. But, Lurrie offers also some gems that are remarkable achievements : "I've got a watch on you", "I'll be your 44" and the exceptional "Leaning tree" (with Jerry Winston's saxophone) best title of this album. We must salute all musicians : beautiful compact production by Willie "Vamp" Samuels (also bassist), excellent performances of Dave Rice on organ and Reggie Wright on drums. |
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BLUES ESTAFETTE 2003Blues Estafette November 2003 |
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BLUES BRUNCH AT THE MARTDelmark June 2005 |
Deux excellents morceaux chantés par Lurrie Bell - "I need you so bad" et "Reconsider baby" - lors de ce concert organisé pour les artistes de la firme Delmark. Il y est accompagné du groupe de Michael Coleman. Two excellent tracks sung by Lurrie Bell - "I need you so bad" and "Reconsider baby" - during this concert organized for the artists of Delmark label. He is accompanied by Michael Coleman's band. |
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GETTIN' UP LIVEDelmark July - October 2006 |
Après une attaque cardiaque dans sa maison de Charlotte (Caroline du nord), Carey Bell chute et se casse à la hanche. Hospitalisé pendant quatre semaines, il n'est pas sorti depuis trois jours qu'il rejoint son fils Lurrie sur scène. Ce disque recueille trois performances distinctes : un concert au Rosa's Lounge en juillet 2006, un autre au Buddy Guy' Legends en octobre de la même année, ainsi qu'une petite séance intimiste et improvisée prise au domicile de Lurrie le lendemain du concert au Rosa's Lounge. Malgré ses soucis de santé, ses possibilités au chant et à l'harmonica sont demeurées intactes. Il est remarquable du début à la fin, tout comme Lurrie, brillant de bout en bout à la guitare. Il s'agissait, alors, de ses dernières prestations scéniques puisque Carey s'est éteint en mai 2007. After a heart attack at his Charlotte home (North Carolina), Carey Bell falls and breaks his hip. Hospitalized for four weeks, he did not come out for three days when he joined his son Lurrie on stage. This album collects three separate performances : a concert at Rosa's Lounge in july 2006, another at Buddy Guy's Legends in october of the same year, and a small and intimate improvised session at Lurrie's home, the day after the concert at Rosa's lounge. Despite his health problems, his vocals and harmonica competencies remained intact. He is remarkable from beginning to the end, and Lurrie is brilliant from start to finish on the guitar. It was, then, his last live performances since Carey died in may 2007. |
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LET'S TALK ABOUT LOVEAria - BG 2007 |
En 2007, Lurrie traverse encore une période difficile de sa vie avec les décès successifs de son père Carey et de sa compagne photographe Susan Goldberg. Cette même année, il crée son propre label Aria-BG (d'après le nom de sa fille Aria Bell-Goldberg). Dans ce disque volontairement et résolument optimiste, les grands moments sont nombreux : "Earthquake and hurricane", "Why (am I treated so bad)", "Feeling good" (avec la participation de Jimmy Johnson), "Cold chills", "Turn to me". La production est assurée par Matthew & Larry Skoller. Derrière Lurrie, les musiciens supportent impeccablement leur leader : Felton Crews (basse), Sid Wingfield (claviers), Anthony Palmer (guitare), Kenny Smith (batterie). In 2007, Lurrie again going through a difficult period of his life with the successive deaths of his father Carey and his girlfriend the photographer Susan Goldberg. That same year, he created his own label Aria-BG (after the name of his daughter Aria Bell-Goldberg). In this willingly and resolutely optimistic album, there are many highlights : "Earthquake and hurricane", "Why (am I treated so bad)", "Feeling good" (with the participation of Jimmy Johnson), "Cold chills", "Turn to me". The production is ensured by Matthew & Larry Skoller. Behind Lurrie, musicians impeccably support their leader : Felton Crews (bass), Sid Wingfield (keyboards), Anthony Palmer (guitar), Kenny Smith (drums). |
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IT AIN'T OVERDelmark March 2008 |
Pour les 55 ans du label Delmark, Lurrie interprète ""Don't lie to me" sur la scène du Buddy Guy's Legends. For the 55 years of the Delmark label, Lurrie interprets "Don't lie to me" on the Buddy Guy's Legends' stage. |
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CHICAGO BLUES : A LIVING HISTORYRaisin' Music 2009 |
Pour ce projet mené par Larry Skoller retraçant le Chicago Blues, Lurrie interprète notamment une reprise particulièrement réussie de "Damn right I got the blues". For this project led by Larry Skoller recounting the Chicago Blues, Lurrie plays notably a particularly convincing cover of "Damn right I got the blues". |
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CHICAGO BLUES : A LIVING HISTORY - LIVE AT AULNAY ALL BLUESRaisin' Music November 2010 |
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THE DEVIL AIN'T GOT NO MUSICAria - BG January - June 2011 |
Ce deuxième disque pour son label Aria-BG se concentre sur le blues acoustique et le gospel que Lurrie chantait pendant son enfance à Macon (Mississippi) et Lismar (Alabama). Produit soigneusement par Matthew Skoller avec l'aide de Bill Sims Jr (membre du Heritage Blues Orchestra), le disque est prenant et émouvant. Lurrie y chante magnifiquement avec une voix pénétrante et véhémente. Son jeu fantastique à la guitare - véloce et précis - fait merveille. Quelques perles somptueuses : "The devil ain't got no music", "Way down in the hole", "It's a blessing", "I'll get to heaven on my own", "Death don't have no mercy". Lurrie est entouré de discrets collaborateurs comme Kenny Smith ou Joe Louis Walker. This second disc for his Aria-BG label focuses on acoustic blues and gospel as Lurrie sang during his childhood in Macon (Mississippi) and Lismar (Alabama). Carefully produced by Matthew Skoller with the help of Bill Sims Jr. (member of the Heritage Blues Orchestra), the disc is fascinating and moving. Lurrie beautifully sings with a penetrating and vehement voice. His fantastic guitar playing - strong and accurate - wonders. Some sumptuous gems : "The devil ain't got no music", "Way down in the hole", "It's a blessing", "I'll get to heaven on my own", "Death don't have no mercy". Lurrie is surrounded by discreet staff such as Kenny Smith or Joe Louis Walker. |
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CHICAGO BLUES : THE REVOLUTION CONTINUESRaisin' Music 2011 |
Le deuxième volet du projet "Chicago blues : a living history" conçu par Larry Skoller regroupe encore plus d'artistes que le premier volume. Lurrie toujours présent est le leader de trois morceaux de belle facture (notamment "Got to leave Chi-Town"). The second installment of the project "Chicago blues : a living history" designed by Larry Skoller still gathers more artists than the first volume. Lurrie is always present as a leader on three fine pieces (including "Got to leave Chi-Town"). |
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BLUES IN MY SOULDelmark February 2013 |
Après l'expérience gospel de "The devil ain't got no music", Lurrie revient à un Chicago Blues traditionnel chez Delmark. Sous la supervision du producteur Dick Shurman, cet album a été enregistré aux Riverside Studios avec un groupe remarquablement compact : Roosevelt Purifoy, Melvin Smith, Willie Hayes, Matthew Skoller. On trouve trois compositions personnelles vraiment exceptionnelles : "Blues in my soul", "24 hour blues" en hommage à Magic Slim puis le funky "South side to Riverside". Mais les nombreuses reprises - parfaitement rendues - puisent dans les meilleurs répertoires du genre (Eddie Boyd, Big Bill Broonzy, Jimmy Rogers, Otis Spann). Lurrie est à son meilleur : chant maitrisé avec sa voix rugueuse, guitare irréprochable. After the gospel experience of "The devil ain't got no music", Lurrie returns to a traditional Chicago Blues at Delmark. Under the supervision of producer Dick Shurman, this album was recorded at Riverside Studios with a remarkably compact group : Roosevelt Purifoy, Melvin Smith, Willie Hayes, Matthew Skoller. There are three really exceptional Lurrie's personal compositions : "Blues in my soul", "24 hour blues" in honor of Magic Slim and the funky "South side to Riverside". But the many covers - perfectly made - pick on the best repertoire of the genre (Eddie Boyd, Big Bill Broonzy, Jimmy Rogers, Otis Spann). Lurrie is at his best : mastered singing with his rough voice, impeccable guitar. |
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CAN'T SHAKE THIS FEELINGDelmark February 2016 |
Construit sur le même modèle que "Blues in my soul", ce "Can't shake this feeling" (de nouveau pour Delmark) bénéficie de la même équipe de musiciens et producteurs. Encore une fois, Lurrie réussit son pari avec un Chicago Blues traditionnel impeccablement joué et chanté. Ses splendides reprises de "Drifting", "Sinner's prayer" et de "I get so weary" donnent lieu à des parties de guitare virtuoses et prenantes. Mais, ses propres compositions méritent largement l'écoute : l'intense slow-blues "The worrisome feeling of my heart", le brut "Faith and music" sans oublier "I can't shake this feeling". Il faut également mentionner l'excellent "Do you hear" composé par son père Carey Bell. Built on the same model as "Blues in my soul", this "Can't shake this feeling" benefits from the same team of musicians and producers. Once again, Lurrie succeeds his bet with a traditional Chicago Blues, impeccably played and sung. His splendid covers of "Drifting", "Sinner's prayer" and "I get so weary" give rise to virtuoso and gripping guitar parts. But, his own compositions deserve a lot of attention : the intense slow-blues "The worrisome feeling of my heart", the raw "Faith and music" without forgetting "I can't shake this feeling". Also worth mentioning is the excellent "Do you hear" composed by his father Carey Bell. |
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TRIBUTE TO CAREY BELLDelmark September 2017 |
Pour cet hommage à leur père - produit par Steve Wagner et Dick Shurman - les frères Lurrie, Steve, Tyler et James Bell reprennent certains de ses titres emblématiques et d'autres morceaux l'ayant influencé. Très consistant, l'album regorge de superbes réussites comme "Gone to Main Street", "Hard hearted woman", "Keep your eyes on the prize", "So hard to leave you alone" (avec Billy Branch), "Heartaches and pain", "I got to go". Les quatre frères sont brillants en particulier Lurrie à la guitare (sa voix a faibli par contre) et Steve à l'harmonica. For this tribute to their father - produced by Steve Wagner and Dick Shurman - the brothers Lurrie, Steve, Tyler and James Bell cover some of his iconic titles and other related tracks. Very consistent, the album is full of superb achievements such as "Gone to Main Street", "Hard hearted woman", "Keep your eyes on the prize", "So hard to leave you alone" (with Billy Branch), "Heartaches and pain", "I got to go". The four brothers are brilliant, especially Lurrie on guitar (his voice has weakened however) and Steve on harmonica. |
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TRIBUTE : DELMARK 65TH ANNIVERSARYDelmark September 2017 |
Pour cet hommages aux plus grands artistes ayant enregistrés pour le label Delmark, Lurrie rend naturellement hommage à son père Carey Bell. Accompagné de la fratrie Bell, il joue l'excellent "One day you're gonna get lucky" (probablement issu des séances de "Tribute to Carey Bell"). For this tribute to the greatest artists who have recorded for the Delmark label, Lurrie naturally pays tribute to his father Carey Bell. Accompanied by the Bell siblings, he plays the excellent "One day you're gonna get lucky" (probably from "Tribute to Carey Bell" sessions). |